Par Champi-Haine

Lundi 7 septembre 2009 à 19:11


"Comment tu fais pour manger ta main, sans les mains?"

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"Schnafon!
-A tes souhaits!
-A tes souhaits!
-A tes souhaits!
-A tes souhaits!
-A tes souhaits!
- Crève!
-Nan mais c'est le village où on va..."

 


'M'en faut peu.. * Aah puuh*

Par Champi-Haine

Lundi 31 août 2009 à 13:24


J'apprends à m'apprécier.

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J'apprends à me supporter.

C'est pas facile. Mais il faut que j'apprenne à m'aimer. Je vaux pas plus pas moins que les autres. Tout le monde me voit venir avec mes grandes phrases.
Ca va faire mal. Très. Trop.
J'ai p't'être besoin de ça. Apprendre à vivre avec moi même. Exorciser ma peur de l'abandon. Je ne dois pas m'abandonner. Un pas en avant, trois pas en arrière? Oui, non. Aucune idée. Il faut que je me pardonne aussi. Ca fait un peu thérapie tout ça, non?
J'en avais peut être plus besoin que ce que je pensais.
Mon regard noir, mes mains écorchées, ma voix accordée. J'avance. Je vais vivre.

Par Champi-Haine

Dimanche 24 mai 2009 à 12:07

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" T'en fais un d'ces bruits quand tu penses! "
Arcadiaelfe

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" J'ai la tête pleine d'humeurs. "
Charlie - Menteur.

Par Champi-Haine

Dimanche 17 mai 2009 à 22:57

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Madame Louve...

...se balladait sur un escalier et rédigeait un mode d'emploi.


...compose sa vie.

Par Champi-Haine

Samedi 2 mai 2009 à 22:37

D'abord le blanc, on uniformise, on purifie, on efface. Tout doit disparaître, je ne suis plus humaine, je ne suis plus rien, je suis tout et personne. Puis lentement, le noir s'installe, par grands tracés, du bout de mon pinceau je m'invente un masque, une identité inconnue.

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Qui suis-Je ?
Réalité d'une illusion, ou Illusion de cette réalité?
Me revient ses mots, mes maux. Comment peut-on, comment peut - il toujours tout voir, tout dire, savoir là où ça touche, là où ça fait mal?
Je ne souffre pas, ou plus. Juste les voiles qui se lèvent et qui me dévoilent. Mortelle. Fragile. Humaine.



Destinée, tracée ou non, par qui, par toi, par vous, par moi, la vie n'est qu'un dessin, nous sommes une feuille, chacun d'entre nous, mais... Les crayons, les couleurs, les formes, ce n'est pas nous, c'est l'autre, celui qui va laisser sa trace sur nous, en nous, tout près, trop près, pas assez... Certains sont effacables, d'autres s'effacent d'eux mêmes, mais certains sont indélébiles, douloureusement gravés dans ce papier qu'on pensait trop fragile pour les porter. Et finalement, tout est là, tout soutiens, tout à sa place, sa monstrueuse place. On accepte des couleurs aussi, on les demande, on les recherche et lorsqu'on les trouves, on sait qu'on n'oubliera jamais l'impact sur nos yeux.

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