Par Champi-Haine

Dimanche 29 novembre 2009 à 16:43


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"On ne dit pas : Je voudrais vous aimer. On dit : Je vous aime."

"Ce qui nous sauve ne nous protège de rien et pourtant cela nous sauve."

Extraits de "Nina"
dans L'inespérée de Christian Bobin.

Par Champi-Haine

Dimanche 29 novembre 2009 à 16:39


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"C'est la folie des mères qui engendre la folie d'écrire."


Extrait de "La traversée des images"
dans L'inespérée de Christian Bobin.

Par Champi-Haine

Dimanche 29 novembre 2009 à 16:37


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"Il y a dans la douleur, une pureté infatigable, la même que dans la joie, et cette pureté est en route, dessous les tonnes d'imaginaires congelés."

" L'intelligence est la force, solitaire, d'extraire du chaos, sa propre vie, la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi, vers l'autres là bas, comme nous égaré dans le noir."

Extraits de "Le Mal"
dans L'inespérée de Christian Bobin.

"Un écrivain c'est quelqu'un qui se bat avec l'ange de sa solitude et de sa vértié."

"Ce n'est pas l'encre qui fait l'écriture, c'est la voix, la vérité solitaire de la voix, l'hémorragie de vérité au ventre de la voix."

"Les enfants et les amoureuses sont des écrivains-nés."

Extraits de "la traversée des images"
dans L'inespérée de Christian Bobin.

Par Champi-Haine

Mardi 24 novembre 2009 à 20:09


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"Vous reconnaissez vos amis à ce qu'ils ne vous empêchent pas d'être seul, à ce qu'ils éclairent votre solitude sans l'interrompre."

Extrait de "J'espère que mon coeur tiendra, sans craquelure"
dans L'inespérée de Christian Bobin.

Par Champi-Haine

Lundi 23 novembre 2009 à 20:21


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"Mais ce n'est pas tout. Je dois vous parler de moi, maintenant. Je vous ai dit que le désarroi [...] avait, à la longue disparu. Et c'est vrai. Cependant, je n'ai pas pu m'y habituer tout à fait. Encore aujourd'hui, je ne sais ce qui me brise le plus : le chagrin de ses départs, la joie de ses retours.
Quand il part, je mets des mois à rassembler mes pensées autour de ce vide, à tempérer les battements de mon coeur dans le noir.
Quand il revient, c'est pour ruiner ce frêle équilibre auquel j'étais -si laborieusement- parvenue."

Extrait de Isabelle Bruges de Christian Bobin.

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