Par Champi-Haine

Samedi 11 février 2012 à 22:02

Et après ça, on dira que j'étais la seule à gueuler... J'ai pas baisser les yeux, et je me suis pas mise en avant. Et j'étais pas la seule, et je me suis pas fait mousser, et j'ai pas regardé mes chaussures. Alors merde.

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Par Champi-Haine

Vendredi 10 février 2012 à 21:14

On a tous un enfant qui cri au fond de nous, un adolescent révolté. Il faut le laisser sortir, "c'est ce qui monte en toi quand rien ne va". Cet instinct qui "frappe contre les parois" de l'esprit trop étriqué... Reste avec moi, qui que tu sois, ma révolte, ma colère, mon "non" infini et absolu. Une rage innocente qui gronde en nous quand cela brûle. Les Miens se reconnaîtront. On est tous fait de cette même chair, celle de celui qui lève la tête et la lèvre ensanglantée. "Ca fait peur au plus vaillant", l'aléatoire, le sentiment qui vient sans prévenir, rien à prévoir, plus de réflexion, juste une inflexion du corps et du coeur.

Par Champi-Haine

Jeudi 26 janvier 2012 à 18:41

Longue journée caféinée. Une fatigue à bout de phalange. La rage qui grince mes dents. Et des maux en trop balancés pour rien à des identités innocentes. Vodka orangée coulant dans la gorge brûlée.
Deux petits sphinx noirs qui bercent l'ambiance d'un ronflement tranquille, apaisé, à l'inverse de ton corps épuisé, à l'envers et enivré.


Tu n'as même plus la force de pleurer.



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Par Champi-Haine

Mercredi 11 janvier 2012 à 17:49

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Ehps! Tu entends? C'est le bruit que ça fait quand tu te tais enfin!
Ferme la bouche et reste prostrée en toi petite gamine esseulée.
Arrête de t'imposer par ton rire et ton impulsivité! Tu transpires la pitié petite souris.

Par Champi-Haine

Mardi 10 janvier 2012 à 17:08

Tu savais que tu serais toujours seule. Tu as trop peur, peur d'exister. Toi et tes rancoeurs cachées. Ta Haine dans tes yeux noirs s'éclaircit et tu as l'impression de te perdre dans ton orgueil, ton impulsivité maladive. Tu te laisses te morfondre. Tu n'attends plus rien du dehors.
Etouffe ton cri dans l'oreiller, brise tes paupières et fais taire ta colère. Cela faisait longtemps que tu laissais couler les émotions, les laisser te cisailler tes petites joues . Mais cette fois, tu as ressenti un tremblement de terre dans ta gorge, l'eau a surgit avec un gémissement.
Tu as eu mal, de nouveau. Et tu as recommencé à écrire.

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