Au fond de nous.
On a toujours cette petite fille qui attend son heure de gloire.
Et qui chante, qui danse, qui sourit, qui rit, qui court et qui fait des câlins.
Champi-Haine
Par Champi-Haine
Samedi 10 octobre 2009 à 17:23
Au fond de nous.
On a toujours cette petite fille qui attend son heure de gloire.
Et qui chante, qui danse, qui sourit, qui rit, qui court et qui fait des câlins.
Par Champi-Haine
Jeudi 8 octobre 2009 à 21:05
Camille : Alors, la vie est belle ?
France : La vie est pas forcément belle mais on a pas le choix
Camille : Ah, j'en étais sûr.
France : De quoi ?
Camille : Que t'allais pas répondre "oui".
France : La vie est pas forcément belle mais on a pas le choix
Camille : Ah, j'en étais sûr.
France : De quoi ?
Camille : Que t'allais pas répondre "oui".
Pix by Freak.
Par Champi-Haine
Mardi 6 octobre 2009 à 22:39
"Ah oui, c'est vrai, j'avais oublié que c'était toi qui écrivais." Fruchy.
"T'es quelqu'un de posé non?" Mentor.
"Quand c'est que tu souris pour de vrai?" Emy.
"Tu ne peux pas sauver tout le monde." Sylvie.
"Tes poignets sont si petits. J'ai toujours peur de les briser." Val'
"Tu parles souvent à toi même de cette façon." Cédric.
"T'as un regard qui fait flancher." Victor.
"Laisse tomber, c'était perceptible." Tom'.
"L'impulsivité de France..." Lucile.
"Tais toi. Tais toi." Lou'.
"T'aimes ça non?" Thomas V.
"Oublie." France.
J'agonise.
Incapable de vivre pour moi. Je vis pour les autres. Par les autres. Je ne suis personne. Je ne suis que ce que vous voulez. J'm'adapte.
J'agonise, mais c'est bien fait pour ma grande gueule.
Incapable de vivre pour moi. Je vis pour les autres. Par les autres. Je ne suis personne. Je ne suis que ce que vous voulez. J'm'adapte.
J'agonise, mais c'est bien fait pour ma grande gueule.
Par Champi-Haine
Samedi 3 octobre 2009 à 13:42
"Merci pour les roses, et merci pour les épines"
[ Jean d'Ormesson ]
Par Champi-Haine
Dimanche 27 septembre 2009 à 16:30
"Elle me fait peine. Cette petite gamine, seule, au fond d'une pièce. Recroquevillée sur son tout petit corps. Les genoux contre la poitrine. Elle tremble, de tout son petit coeur. Une jolie flaque autour de sa tête, les larmes coulent, tout doucement, elles lui tranchent la joue. Ses yeux noirs regardent la lune, un peu floue. Un peu comme tout, un peu comme nous... L'ambiance est glaciale, mais comme d'habitude, ses mains la brûlent, elle les pose sur le carrelage froid, rien n'arrête l'incendie. Et doucement, l'hystérie silencieuse apparaît. Tout se tétanise, puis tout se convulse. Elle se déchire de l'interieur, comme un verre qu'on brise, comme une rature qu'on jette en colère. Abandonnée, elle s'est abandonnée au final. Elle les a tous maudit, trop de fois. Elle agonise dans sa destruction, sa punition. Rien n'est à sa place, rien ne bouge... Toutes ses questions sans réponses."
Arcadiaelfe [Against-the-humanity]
